Coaching d’un héros 26 – L’aliénation du travail

Ce soir on aborde la dépendance au travail, la façon dont la société nous y enchaîne…

Et si tu veux écouter l’émission intégrale d’enquêtes-spirituelles, viens par ici!

J’ai lu et je te recommande:
Je n’ai pas d’argent et ça me plait : Vivre au coeur de l’abondance ici et maintenant – Lilou Macé

Pour ceux qui ne peuvent/veulent pas voir la vidéo, voici mon texte retranscrit:

Bonsoir à tous, bienvenus dans Coaching d’un héros numéro 26, la rubrique qui révèle ton potentiel de héros et qui te permet de changer le monde !

La semaine dernière, nous avons parlé d’abondance et de richesse. Par conséquent ce soir et la semaine prochaine (je fais l’émissions en deux temps car y’a beaucoup à dire), j’aimerais parler avec vous du travail, de l’emploi.

De toute l’histoire de l’humanité, nous n’avons jamais travaillé autant qu’à l’époque actuelle.

Avant, le travail était un effort physique ou intellectuel permettant de répondre à un besoin. De nos jours, il est devenu un “emploi”, c’est à dire la soumission d’un individu à un autre en échange d’argent, permettant d’acheter des produits. Les besoins ont été remplacés par des envies. Produire des richesses est devenu une fin en soi.

En fait On produit des quantité si faramineuses qu’il n’y a que deux solutions possibles: soit diminuer le temps de travail, soit développer une société basée sur la consommation.
C’est ce dernier choix qu’a adopté notre société.

Après la 2e guerre mondiale, Patrons et ouvrier s’accordent sur le pacte social; Croissance, productivisme, travail, et consommation en échange de droits sociaux.
Consommer devient un mode de vie et la condition même de la survie de l’emploi.

On ne se satisfait plus de l’essentiel.

Le problème de cette sur-consommation, on l’a vu dans les émissions précédentes, c’est que nos ressources naturelles ne sont pas éternelles. Si on vivait comme aux USA il nous faudrait  planètes pour vivre comme eux. Le cycle de vie d’un objet produit de la pollution à chaque stade de son développement jusqu’à son élimination.
Les ressources se font rares et viennent de loin, des pays les plus pauvres.
Le travail est une étape primordiale de l’économie materielle: elle transforme la nature en produit utilisable.  De nombreux emplois, sous prétexte qu’ils sont économiquement rentables, sont nuisibles pour la société. Les secteurs les plus rentables sont les + critiquables: pétrole, pornographie, pub, finance, média, armement. Education, santé, aide sociale sont de plus en plus privatisés.

Le travail donne un pouvoir: le pouvoir d’achat qui permet de profiter du travail des autres. Il y a soumission de chaque classe sociales à celle au dessus d’elle. Tout est jeu de pouvoir à travers différents niveau hiérérchiques du plus riche au plus pauvre.
On préserve les inégalités sociales car plus le faussé entre riches et pauvres est grand, plus la soumission des faibles est grande plus nous devons travailler pour maintenir la pyramide de la consommation.
Le pire: c’est que nous n’avons même pas le CHOIx, nous sommes victimes et bourreaux.
On est poussé à la conformité: Ce serait facile de consommer moins et de moins travailler. Mais la propagande des média nous incite à adopter le matérialisme pour norme du bonheur. 500 milliards d’euros de pub sont dépensés chaque année pour créer le manque là ou il n’existe pas. Nous pensons que nous existons car nous possédons des choses. Et  plus les médias augmentent nos envies, dont le but et de nous pousser à dépenser au delà de nos limites pour venir faire croître la machine économique, plus nous sommes malheureux car nous ne pouvons pas y parvenir.
Pour faire vivre ce système, on fait en sorte qu’on voie tout à travers compétition, réussite professionnelle, l’accès à l’argent. Même éducation est construite selon ce shéma.

Résultat on est malheureux, on est déconnectés les uns des autres, obsédés par notre apparence… notre emploi n’est qu’un moyen de subsistance et 80% des gens s’ennuient au travail. Les vacances sont là pour relâcher un peu la pression et faire en sorte qu’on décompresse en consommant plus. Le retraite est vue comme un espoir de repos.
Finalement, entre le stress du boulot, les frustrations de la consommation, la pression du conformisme social, on ne profite pas tellement de la vie au jour le jour.
J’ai encore beaucoup à dire, mais je vais m’arrêter pour ce soir en vous posant ces questions:
Comment vivriez vous si on ne vous payait pas à faire ce que vous faites? Le feriez-vous quand même?
Certains, comme notre invité de ce soir, on décidé de lâcher prise et de vivre intégralement de leurs passions. Ils ont développé leur richesse intérieure et c’est celle-ci qui va leur permettre un mode de vie différent, axé sur le partage et le savoir.

Je vous laisse prendre connaissance de Lilou Macé, qui est reporter en matière de spirituel, et je lui envoie plein de bisous car je l’adore!

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